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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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SYRIE – Les bombardements de l’armée russe en Syrie ont baissé en intensité depuis le début de l’offensive de Moscou en Ukraine, a indiqué ce vendredi une ONG syrienne dans un rapport marquant le septième anniversaire de l’intervention militaire de la Russie aux côtés du régime de Damas.

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Depuis le 30 septembre 2021, les frappes russes ont fait 241 morts, en grande majorité des combattants du groupe jihadiste Etat islamique mais aussi 28 civils, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) dans son rapport.

Le bilan le plus lourd des frappes russes a été enregistré en 2015, première année de l’intervention militaire de Moscou en Syrie, avec 9.364 morts parmi lesquels 3.804 civils (906 enfants, 561 femmes et 2.337 hommes), a rapporté l’ONG basée en Grande-Bretagne mais qui dispose d’un large réseau de sources en Syrie.

Au totale, au cours des sept dernières années, les bombardements de la Russie en Syrie ont fait plus de 21.000 morts parmi lesquels 8.697 civils incluant 2.112 enfants, toujours selon l’OSDH.

IRAK – Un ressortissant américain a été tué dans les frappes iraniennes ayant ciblé mercredi, au Kurdistan d’Irak, des groupes armés de l’opposition kurde iranienne, a-t-on appris jeudi auprès de la diplomatie américaine.

« Nous pouvons confirmer qu’un citoyen américain a été tué par un tir de roquette dans la région du Kurdistan irakien hier », a affirmé à la presse le porte-parole adjoint du département d’Etat, Vedant Patel.

« Nous condamnons la violation par l’Iran de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de l’Irak », a-t-il ajouté en précisant que les Etats-Unis « continueront à appliquer des sanctions et à prendre d’autres mesures afin de mettre fin aux activités déstabilisatrices de l’Iran dans la région ».

Il s’est refusé à donner toute précision sur ce citoyen américain ni les circonstances exactes de son décès en arguant de « considérations familiales ».

Revendiqués par Téhéran, ces bombardements ont fait « 13 morts –dont une femme enceinte– et 58 blessés, en majorité des civils, dont des enfants de moins de 10 ans », ont annoncé mercredi les services antiterroristes du Kurdistan d’Irak.

Le Kurdistan d’Irak accueille plusieurs groupes d’opposition iraniens kurdes qui, historiquement, ont mené une insurrection armée contre Téhéran, même si ces dernières années leurs activités sont en recul.

IRAN – Dans une lettre envoyée jeudi à Gianni Infantino, le président de la FIFA, l’association Open Stadiums a demandé l’exclusion de la sélection iranienne pour la prochaine Coupe du monde au Qatar (20 novembre – 18 décembre). Sur fond de manifestations en Iran, l’organisation, qui bataille pour que les femmes soient autorisées à assister aux matches de football dans le pays, a déclaré que les autorités iraniennes continuaient de refuser l’accès aux stades aux supporters féminins.

« La Fédération iranienne n’est pas seulement complice des crimes du régime, indique entre autres la lettre. Elle constitue une menace directe pour la sécurité des supporters féminins en Iran et partout où notre équipe nationale joue dans le monde. Le football devrait être un espace sûr pour nous tous. C’est avec un cœur extrêmement lourd que nous devons exprimer notre plus grande inquiétude quant à la participation de l’Iran à la prochaine Coupe du monde de la FIFA. »

L’association s’appuie sur les articles 3 et 4 de la FIFA, qui couvrent les questions des droits de l’homme et de la non-discrimination fondée sur le sexe, la race, la religion, etc. Les violations de ces règlements sont passibles de suspension ou d’expulsion de l’organisme mondial.

Il y a trois jours à Istanbul, la chanteuse turque Melek Mosso s’est arrêtée après quelques chansons pour se couper les cheveux en hommage à Masha Amini car la mobilisation intense qui se tient en ce moment en Iran « ne doit pas tomber dans le silence », et pour marquer son soutien à ses « sœurs iraniennes ».

IRAN – Des hommes armés ont ouvert le feu vendredi et lancé des cocktails Molotov sur un commissariat de la province du Sistan-Baloutchistan, dans le sud-est de l’Iran, a rapporté la télévision d’État.

« Plusieurs policiers ainsi que des passants ont été blessés dans les échanges de tirs » dans la capitale provinciale Zahedan, a-t-elle ajouté.

La province du Sistan-Balouchistan est une région déshéritée frontalière du Pakistan et de l’Afghanistan et théâtre fréquent d’attentats ou d’accrochages entre forces de l’ordre et groupes armés.

ISRAËL – Le Comité central des élections a voté jeudi pour bloquer la candidature de Balad aux élections de novembre, après que le comité a accepté une pétition visant à disqualifier le parti nationaliste palestinien.

Avec neuf membres du comité votant en faveur et cinq contre, Balad est actuellement éliminé de la course. Cependant, le parti devrait faire appel de la décision auprès de la Cour suprême, comme il l’a fait pour d’autres disqualifications du comité.

Dans le même temps, le Comité central a voté plus tôt ce jeudi pour autoriser Ra’am à se présenter aux élections, après que deux appels ont été déposés contre lui au motif qu’il « soutenait le terrorisme ».

Le comité central est dirigé par le juge de la Cour suprême Yitzhak Amit mais est composé de représentants de tous les partis politiques de la Knesset. 

La loi israélienne dispose qu’une liste de candidats ou un individu ne peut pas participer aux élections si ses actions ou son programme comprennent la négation de l’existence de l’État d’Israël en tant qu’État juif et démocratique, l’incitation au racisme ou bien le soutien à la lutte armée par un État hostile ou par une organisation terroriste contre l’État d’Israël ».

SOUDAN DU SUD – La Mission des Nations unies au Soudan du Sud (MINUSS) a déclaré mercredi que les conflits intercommunautaires au Soudan du Sud continuaient d’alimenter des cycles répétés de violence, et mis en garde que ce phénomène pourrait potentiellement éroder les progrès réalisés vers une paix durable au Soudan du Sud.

Le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU pour le Soudan du Sud, Nicholas Haysom, a indiqué que les combats entre factions rivales dans l’Etat du Nil supérieur et dans une partie de Jonglei avaient causé un déplacement massif de civils qui ont cherché refuge dans les bases de l’ONU à Malakal, capitale de l’Etat du Nil supérieur.

« Les combats entre l’Armée/Mouvement populaire de libération du Soudan en Opposition (APLS/MPLS-IO) et les factions Kitgwang et Agwelek ont déplacé des milliers de personnes dans les Etats du Nil supérieur, de Jonglei, d’Unité, et dans plusieurs parties du Soudan », a déclaré M. Haysom aux journalistes à Juba, capitale du Soudan du Sud.

Plus de 14.000 personnes ont été déplacées et ont cherché refuge sur le site de protection des civils de Malakal, a-t-il indiqué.

ETHIOPIE – Le prix des carburants en Ethiopie a augmenté jeudi d’environ 20%, moins de trois mois après une précédente hausse de 30 à 40%, dans le cadre de la suppression progressive des subventions publiques aux produits pétroliers.

Face à la flambée cette année des cours du brut, qui creusent le déficit de l’Etat, le gouvernement éthiopien a décidé de supprimer progressivement, depuis juillet, la totalité des subventions aux carburants.

« Bien que les prix internationaux du pétrole ont montré une certaine stabilité en septembre, la différence reste importante quand on les compare à ceux dans notre pays », selon le ministère du Commerce dans un communiqué publié mercredi soir.

Pour « refléter le marché international, de nouveaux prix ont été fixés » jeudi, selon le ministère.

Les conséquences ont été rapides à la pompe. Le prix de l’essence a augmenté de 19,83%, passant de 47,83 à 57,05 birr (1,12 euro), et celui du diesel et du pétrole lampant a pris 22,19%, de 49,02 à 59,90 birr (1,18 euro).

Au total, depuis décembre, les prix de l’essence et du diesel en Ethiopie ont plus que doublé, augmentant respectivement de 120% et de 157%.

Le gouvernement – qui a le monopole de l’importation du carburant, transporté par la route depuis Djibouti vers l’Éthiopie enclavée – avait déjà augmenté les prix au détail en décembre 2021 puis en mai 2022.

Selon les analystes, le conflit dans la région dissidente du Tigré, qui dure depuis deux ans, pèse durement sur l’économie éthiopienne, en raison de son coût pour les finances publiques et des réticences des bailleurs et investisseurs internationaux.

OUGANDA – le président Yoweri Museveni devait bientôt annoncer sa décision concernant le « Computer Misuse Amendement Bill ». Le projet de loi, adopté le 8 septembre à l’Assemblée nationale, propose des amendements au Computer Misuse Act de 2011 dont des articles ont déjà servi pour poursuivre des journalistes en justice. Au terme des 30 jours prévus par la constitution pour le faire, le Chef de l’Etat annoncera s’il valide ou pas le projet de loi.

Le texte criminalise le mauvais usage des réseaux sociaux ou la publication d’informations sur une personne sans son accord.

Faute de définitions claires, le texte laisse une grande place à l’interprétation. Le projet de loi avait été adopté malgré les critiques des organisations ougandaises de défense des droits de la presse et des groupes de défense des droits numériques.

Il y a quelques heures, le comité de protection des journalistes (CPJ) a demandé au président de suspendre l’application du projet de loi.  « Les législateurs ougandais ont fait fausse route en tentant d’aggraver une loi déjà problématique. Si ce projet de loi devient une loi, il ne fera qu’ajouter à l’arsenal que les autorités utilisent pour cibler les commentateurs critiques et punir les médias indépendants », a déclaré Muthoki Mumo, représentant du CPJ pour l’Afrique subsaharienne.  

Le président ougandais a jusqu’au 7 octobre pour se prononcer sur le projet.

KENYA – Le président William Ruto a demandé, jeudi 29 septembre, à son nouveau ministre des Finances de travailler à réduire de 300 milliards de shillings (2,5 milliards de dollars) les dépenses annuelles du gouvernement cette année. Ainsi que l’année prochaine, dans le but d’atteindre un excédent budgétaire d’ici la troisième année. Ces objectifs ont été annoncés par le chef de l’Etat dans un discours au parlement. A cette occasion, William Ruto s’est également dit favorable à la mise en place d’un impôt sur la fortune, lequel devrait permettre d’imposer des impôts plus élevés aux personnes super riches et à haut revenu.

KENYA – Une éléphante « extraordinaire et résiliente », qui avait survécu cinq fois à des tirs de braconniers, est morte dans le nord du Kenya, région en proie à une grave sécheresse ; a annoncé ce jeudi l’ONG Save the Elephants. Monsoon (« Mousson » en anglais), femelle âgée d’une soixantaine d’années, a été euthanasiée lundi après s’être effondrée plusieurs fois dans la réserve de Samburu, étendue aride qui fait face à l’une des pires sécheresses depuis 40 ans.

Save the Elephants a affirmé dans un communiqué que la mauvaise santé de l’éléphant était due à son âge, mais qu’elle avait « été aggravée par la sécheresse ». Monsoon, qui a donné naissance à sept éléphanteaux, dont la dernière fois « à la surprise de tous » en 2018, avait été touchée à cinq reprises par des tirs de braconniers entre 2009 et 2014. L’espérance de vie des éléphants est estimée à une soixantaine d’années. En 2006, Monsoon avait emmené sa famille en lieu sûr en grimpant au sommet de l’une des plus hautes collines de Samburu, alors que les scientifiques pensaient que les éléphants évitaient les terrains pentus.

RDC – L’Union européenne (UE) annonce avoir fourni, à la République démocratique du Congo, 300 000 euros dans la cadre d’une aide humanitaire pour soutenir la lutte contre l’épidémie de choléra dans la province de Sankuru. « Ce financement de l’Union européenne aidera notre partenaire, l’ UNICEF à réagir à l’épidémie, en améliorant la détection rapide des cas afin d’interrompre directement la transmission», indique l’UE. « Cela passe par un cordon sanitaire, la distribution de kits WASH/choléra (y compris des comprimés de purification de l’eau), la mise en place de points de réhydratation orale, le contrôle de la qualité de l’eau et le soutien des centres de traitement ».

342 cas dont 28 décès ont été enregistrés depuis le mois d’août de cette année. Le taux de mortalité à 8,2%. La province de Sankuru compte 2,6 millions d’habitants dont plus de 118 000 sont touchés ou menacés d’infection ». 

RWANDA – Félicien Kabuga, financier présumé du génocide au Rwanda en 1994, n’était pas un chef de guerre mais un homme d’affaires pris dans le chaos de son époque, a affirmé ce vendredi son avocat devant un tribunal de l’ONU à La Haye.

Dernier suspect principal du massacre à être traduit en justice, Félicien Kabuga, 87 ans, autrefois l’un des hommes les plus riches du Rwanda, est jugé pour avoir mis sa fortune et ses réseaux au service du génocide.

Dans ses déclarations liminaires, la défense a rejeté la « caricature » de Kabuga présentée par l’accusation, affirmant qu’il ne pouvait être tenu responsable de l’explosion de violence dans le pays.

Le procureur essaie de « tordre le coup à la réalité et de réécrire l’histoire » pour faire de lui « l’archétype du coupable », a déclaré l’avocat principal de la défense, Emmanuel Altit.

Selon lui, les accusations doivent être considérées au regard du contexte des années de conflit civil au Rwanda précédant le massacre ethnique qui a fait plus de 800.000 morts en l’espace de 100 jours, essentiellement au sein de la minorité tutsi.

« Dans ce contexte de guerre, le comportement de Félicien Kabuga prend une autre couleur; ce n’est plus un chef de guerre, c’est un homme d’affaires pris dans le chaos de son époque », a-t-il déclaré.

L’accusation estime de son côté que M. Kabuga a joué un rôle clé dans le génocide, notamment en livrant des machettes en masse et en dirigeant la tristement célèbre Radiotélévision libre des Mille collines (RTLM), qui a diffusé des appels au meurtre des Tutsi.

« Qu’est-ce qui aurait motivé chez Félicien Kabuga, cette frénésie d’action, cette activité incessante dont le seul but d’après le procureur aurait été la destruction d’un groupe ethnique? » s’est interrogé Me Altit.

Les accusations contre Félicien Kabuga, qui n’était pas responsable de la ligne éditoriale de la radio, sont « incohérentes et contradictoires », a-t-il estimé.

« Pourquoi un homme d’affaires se serait-il métamorphosé du jour au lendemain en chef de guerre? », s’est encore interrogé l’avocat.

TANZANIE – Une cour régionale de justice a débouté ce vendredi des membres de la communauté Massaï qui contestent une décision du gouvernement tanzanien de « baliser » leurs terres ancestrales pour protéger la faune, a annoncé à l’AFP l’avocate de la communauté.

Des Massaï qui vivent dans le district de Ngorongoro, dans le nord de la Tanzanie, accusent le gouvernement de vouloir les déplacer pour pouvoir organiser des safaris et des parties de chasse dans cette région, l’une des plus touristiques d’Afrique de l’Est.

Les autorités tanzaniennes rejettent de leur côté ces accusations, arguant que la population croissante des Massaï y empiète sur la faune et la flore et qu’elles doivent « protéger » près de 1.500 km2 de l’activité humaine.

L’affaire a été portée devant la Cour est-africaine de justice – l’instance judiciaire de la Communauté d’Afrique de l’Est – basée à Arusha, en Tanzanie.

« Malheureusement la cour a statué contre nous », a déclaré l’avocate de la communauté Massaï, Esther Mnaro.

« Nous devons d’abord discuter avec la communauté, mais notre conseil est de faire appel de la décision, nous n’en avons pas encore fini », a-t-elle poursuivi.

Les représentants massaï avaient affirmé devant les trois juges de la cour régionale que les terres leur appartiennent et demandé à la cour « d’arrêter les expulsions, arrestations, détentions et persécutions » de leurs membres.

Ils ont également été déboutés de leur demande d’être dédommagés par les autorités tanzaniennes à hauteur d’un milliard de shillings tanzaniens (environ 430.000 euros).

En juin, des experts de l’ONU s’étaient dits « préoccupés par les projets de la Tanzanie visant à déplacer près de 150.000 Massaï de Ngorongoro et de Loliondo sans leur consentement libre, préalable et éclairé ».

MADAGASCAR-UE – Le thon dans le monde se raréfie ! Notre zone de l’Océan Indien est devenue un enjeu majeur pour la pêche industrielle. L’accord en passe d’être conclu, entre Madagascar et l’Union européenne a été longuement discuté. Après quatre ans de tables rondes, la Grande île est-elle sortie gagnante ?
Financièrement, la tonne de thon passe de 142 à 220 euros. La recette pour le pays devrait augmenter de 4% (de 36 à 40%), alors que le nombre de bateaux de pêche devrait baisser de 5%, écrit L’Express de Madagascar.

À première vue, sur le plan comptable, cette signature est favorable. Cependant, si l’on prend le temps de regarder le contexte général, il est permis de s’interroger.

L’impact des thoniers senneurs sur la ressource est quantifiable. Aujourd’hui, l’albacore ou le big-eye font partie des espèces menacées, selon l’étude remise en 2020 à la Commission de l’Océan Indien (COI). Des accords conclus ces dernières années avec la Chine et le Japon auraient des conséquences plutôt négatives sur la ressource.

KOWEIT – L’opposition qui avait boycotté les élections législatives ces dix dernières années au Koweït a raflé la majorité des sièges au scrutin de jeudi, à l’issue duquel deux femmes ont fait leur entrée au Parlement, selon les résultats officiels publiés ce vendredi.

Les candidats de l’opposition, dont plusieurs sont issus de formations islamistes, ont remporté 28 des 50 sièges du Parlement, battant 20 anciens députés parmi lesquels trois ex-ministres, lors de ces législatives, les sixièmes en dix ans.

Le ténor de l’opposition, Ahmad al-Saadoun, qui a présidé trois fois l’assemblée, figure parmi les vainqueurs avec 12.000 voix.

Parmi les 22 candidates qui étaient en lice, deux femmes — l’ancienne ministre Jinane Bouchehri et Alia Al-Khaled — ont fait leur entrée dans l’hémicycle. Les Koweïtiennes, pourtant très actives au sein de la société civile, avaient perdu leur seule représentante aux dernières élections, en décembre 2020.

Par ailleurs, deux candidats qui purgent des peines en prison ont également remporté des sièges, une première au Koweït. Hamid Mehri al-Badhali et Marzouk al-Khalifa sont notamment accusés d’avoir participé illégalement à des élections partielles.

Contrairement aux autres Etats de la région, le Koweït est doté d’une vie politique dynamique, avec un Parlement — élu pour quatre ans — doté de larges pouvoirs législatifs et où les débats sont souvent vifs.

Les partis politiques ne sont ni interdits ni reconnus, mais de nombreux groupes, parmi lesquels les islamistes, agissent de facto comme des formations politiques.

Les personnalités de l’opposition avaient boycotté les élections ces dix dernières années, déplorant les ingérences de l’exécutif dans le pouvoir législatif.

FINLANDE-EPR – Le réacteur nucléaire finlandais d’Olkiluoto 3, qui a accusé d’importants retards, a commencé à produire de l’électricité à pleine puissance et son exploitation régulière devrait commencer en décembre, ont annoncé l’opérateur TVO et le groupe français Areva ce vendredi.

« La centrale est maintenant la plus puissante installation de production d’électricité en Europe », s’est félicité l’exploitant finlandais de la centrale dans un communiqué.

Avec un niveau de puissance d’environ 1.600 mégawatts, la centrale, située sur la côte sud-ouest du pays nordique, est aussi devenue la troisième installation de production d’électricité la plus puissante au monde, a déclaré la société. Juste derrière les deux EPR chinois, également de conception française.

TVO avait indiqué début septembre que la pleine puissance de près de 1.600 mégawatts devrait être atteinte « début octobre ».

Le nouveau réacteur OL3 est suivi de près en Finlande, où l’on espère qu’il pourra relever les défis énergétiques de l’hiver à venir face aux risques de pénuries aggravées par la chute de livraison de gaz russe vers l’Europe et d’électricité vers la Finlande.

Quand l’EPR est en pleine puissance, 40% de la production d’électricité de la Finlande provient désormais d’Olkiluoto, les réacteurs existants OL1 et OL2 produisant ensemble environ 21% et OL3 à lui seul environ 19%.

Le nouveau réacteur, construit par le consortium franco-allemand Areva-Siemens, a démarré en mars — avec 12 ans de retard et une longue série d’échecs et de déboires qui ont en partie expliqué la lourde restructuration d’Areva.

BURKINA – La situation au Burkina Faso où des tirs ont été entendus et des soldats ont pris position ce vendredi sur de grands axes de la capitale Ouagadougou, est liée à « une crise interne à l’armée », a déclaré à l’AFP Lionel Bilgo, porte-parole du gouvernement burkinabè.

La junte militaire au pouvoir se retrouve ainsi confrontée à un mécontentement dans ses rangs, elle qui avait pris le pouvoir en janvier dernier à la faveur d’un coup d’Etat qui avait démarré par des mutineries dans plusieurs casernes.

Avant l’aube dans la capitale Ouagadougou, des tirs d’origine encore inconnue ont été entendus dans le quartier abritant la présidence et le QG de la junte militaire au pouvoir depuis janvier, ont rapporté des témoins à l’AFP.

Plusieurs axes de la ville ont été barrés par des militaires postés sur les principaux carrefours de la ville, notamment devant le siège de la télévision nationale, dont le signal a été interrompu pendant plusieurs heures, ont constaté des journalistes de l’AFP.

« C’est une crise interne à l’armée, les échanges se poursuivent pour un dénouement sans écueil », a affirmé M. Bilgo, après plusieurs heures de silence du pouvoir.

Il s’agit d’une « crise militaire de certaines unités, sur la base de revendications liées à des primes et à certains traitements », a ajouté M. Bilgo.

« Les discussions sont en cours », a-t-il affirmé. « Le président », le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, « est avec ses hommes et ils mènent les discussions », selon lui.

Dans un communiqué publié peu après ces déclarations à l’AFP, la présidence du Burkina indique que M. Damiba, « au regard de la situation confuse créée suite à un mouvement d’humeur de certains éléments des forces armées nationales (…) invite les populations à observer la plus grande prudence et à rester calme ».

GUINEE EQUATORIALE – L’un des principaux opposants en Guinée équatoriale, pays au régime des plus fermés et autoritaires en Afrique, a été arrêté jeudi avec 150 de ses partisans dans l’assaut par la police du siège de leur parti, dissout en 2018, a annoncé la télévision d’Etat.

Un policier a été tué par balle lors de l’opération par des militants du parti Citoyens pour l’Innovation (CI), a affirmé Television de Guinea Ecuatorial (TVGE) dans son journal télévisé du soir.

« L’ex-leader de CI, Gabriel Nse Obiang Obono, a été arrêté chez lui après avoir désobéi à la justice en ne répondant pas à une convocation du procureur », selon la chaîne.

Convergence pour la Démocratie Sociale (CPDS), l’unique parti d’opposition disposant d’une existence légale, a condamné cet « assaut » du siège de CI, considérant que « ceux qui étaient à l’intérieur ne constituaient aucun danger », selon un message de son secrétaire général Andres Esono Ondo sur Facebook.

« Les forces de sécurité de l’État ont attaqué le siège du parti Citoyens pour l’innovation, après plusieurs jours de siège (…) près de 200 personnes se trouvaient barricadées, dont des femmes, des enfants et des personnes âgées », affirme le CPDS.

Gabriel Nse Obiang, ancien directeur de cabinet militaire du chef de l’Etat, menaçait ces derniers jours de descendre dans la rue avec ses militants si le gouvernement ne lui permettait pas de participer aux élections législatives et présidentielle du 20 novembre.

AFGHANISTAN – Au moins 19 personnes ont été tuées dans un attentat suicide ce vendredi matin dans un centre éducatif de Kaboul, accueillant des étudiants, a annoncé un porte-parole de la police. « Les étudiants se préparaient à un examen lorsqu’un kamikaze s’est fait exploser dans ce centre éducatif. Malheureusement, 19 personnes sont décédées et 27 autres ont été blessées », a déclaré Khalid Zadran, porte-parole de la police.

« Attaquer des cibles civiles prouve la cruauté inhumaine de l’ennemi et son absence de normes morales », a fustigé Abdul Nafy Takor, porte-parole du ministère de l’Intérieur. Des vidéos postées sur les médias sociaux et des photos publiées par les médias locaux montrent des victimes ensanglantées transportées depuis les lieux de l’explosion. « La plupart des victimes » sont « des filles », a indiqué à l’Agence France-Presse un étudiant sur place au moment de l’explosion, qui a fait au moins 19 morts. « Nous étions environ 600 (étudiants) dans la classe, mais la plupart des victimes sont des filles », a déclaré l’étudiant dans un hôpital où il était soigné.

L’explosion s’est produite dans le quartier de Dasht-e-Barchi, dans l’ouest de Kaboul, une zone à prédominance musulmane chiite où vit la communauté minoritaire hazara, théâtre de certaines des attaques les plus meurtrières commises en Afghanistan.

PARAGUAY – Des milliers d’urnes électroniques ont été détruites jeudi dans un incendie au sein du Tribunal supérieur de justice électorale au Paraguay, ont annoncé les autorités, à deux mois et demi des élections pour désigner les candidats à la présidentielle.

« Jusqu’à présent, nous avons perdu 8.500 machines électorales, des cahiers, du matériel électoral, mais nous garantissons aux citoyens que les élections de décembre se dérouleront comme prévu », a déclaré le président de l’organe judiciaire Jaime Bestard, devant le bâtiment à Asunción.

« Deux fonctionnaires » du Tribunal, portés disparus, sont « recherchés », a assuré le chef de la police nationale Gilberto Fleitas devant les journalistes.

Plus de 300 pompiers ont été déployés sur place pour combattre les flammes, maîtrisées après six heures.

L’opposition a dénoncé un acte intentionnel.

« Je n’ai aucun doute, c’est un sabotage », a assuré Guillermo Ferreiro, dirigeant du Parti Libéral.

Une théorie que n’a pas rejetée le porte-parole du Tribunal électoral, Luis Alberto Mauro.

« Nous n’avons aucune preuve pour savoir si c’était un incendie criminel. Nous avons besoin d’un peu plus de temps pour enquêter sur l’origine du feu », a-t-il dit.

Les primaires des différents partis du Paraguay sont prévues le 18 décembre, et l’élection présidentielle le 30 avril 2023.

SENEGAL – Le président sénégalais Macky Sall a demandé à son gouvernement de se pencher sur une possible amnistie politique, suscitant d’intenses spéculations sur le retour au premier plan de deux personnalités disgraciées et sur ses intentions.

M. Sall, élu en 2012, réélu en 2019, a demandé au ministère de la Justice « d’examiner, dans les meilleurs délais, les possibilités et le schéma adéquat d’amnistie pour des personnes ayant perdu leurs droits de vote », dit le compte rendu du conseil des ministres publié mercredi soir.

Cette initiative a été largement perçue comme une tactique pour ramener dans le jeu Khalifa Sall et Karim Wade, personnalités à la trajectoire abruptement interrompue par des condamnations qu’ils dénoncent comme un complot, et fracturer une opposition revigorée en vue de la présidentielle de 2024.

Interrogée par l’AFP sur les plans du chef de l’Etat, la présidence n’a pas répondu.

Karim Wade, fils et proche collaborateur de l’ex-président Abdoulaye Wade (2000-2012), a été condamné en 2015 à six ans de prison ferme et à plus de 210 millions d’euros d’amende pour enrichissement illicite sous la présidence de son père. Ecroué en 2013, il a bénéficié d’une grâce présidentielle et a été libéré en 2016.

Khalifa Sall, maire de Dakar depuis 2009, a été reconnu coupable du détournement d’environ 2,5 millions d’euros des caisses municipales, et condamné en 2018 à cinq ans de prison. Emprisonné en 2017, il a recouvré la liberté en 2019, lui aussi à la faveur d’une grâce présidentielle.

Les deux hommes ont été empêchés de participer à la présidentielle de 2019 à cause de ces condamnations. Ils ont crié à l’instrumentalisation de la justice pour les écarter, ce que nient les autorités.

Ils restent engagés en politique avec l’opposition, mais restent bridés par les contraintes ou incertitudes attachées à leurs condamnations. Au sein de l’opposition, le terrain est ainsi largement occupé par Ousmane Sonko.

Remettre en selle Khalifa Sall et Karim Wade permettrait à Macky Sall « d’en finir avec le face-à-face qu’Ousmane Sonko voudrait imposer », écrit le journal le Quotidien, à l’unisson de nombreux autres.

L’initiative conforte ceux qui pensent que Macky Sall (sans parenté avec Khalifa) briguera un troisième mandat en 2024.

VATICAN – Le Vatican a indiqué jeudi avoir pris des sanctions contre l’évêque Carlos Belo, prix Nobel de la paix et figure de la lutte pour la liberté au Timor oriental, accusé de violences sexuelles sur des garçons mineurs pendant une vingtaine d’années.

Le Saint-Siège, saisi de ce dossier « pour la première fois en 2019 », a imposé en septembre 2020 des sanctions disciplinaires contre Mgr Belo, a indiqué dans un communiqué le directeur du service de presse, Matteo Bruni.

Ces mesures comprennent notamment « des limitations à ses déplacements et à l’exercice de son ministère, l’interdiction de contacts volontaires avec des mineurs et de contacts avec le Timor oriental », a-t-il précisé en réponse à des journalistes.

« En novembre 2021, ces mesures ont été modifiées et renforcées », poursuit le communiqué sans plus de détails, précisant que celles-ci ont été formellement acceptées par l’évêque.

Ces déclarations interviennent au lendemain de la publication d’une enquête de l’hebdomadaire néerlandais De Groene Amsterdam mer, faisant état d’agressions sexuelles et de viols sur de jeunes adolescents lors de déplacements du prélat timorais dans les années 1980 et 1990, témoignages à l’appui.

Prix Nobel de la paix en 1996, Mgr Belo a été administrateur apostolique de Dili, la capitale du Timor-Oriental, de 1983 à 2002, date à laquelle il avait remis sa démission à Jean Paul II en invoquant des raisons de santé avant d’être envoyé au Mozambique.

BULGARIE – A Sofia, rapporte Le Monde, il est une question que les élites pro-occidentales préfèrent éviter de se poser en ce moment : combien des 6,5 millions de Bulgares sont favorables à l’ouverture de négociations avec Gazprom pour que la compagnie russe reprenne ses livraisons de gaz, suspendues depuis avril en raison du refus du gouvernement d’alors de payer en roubles ? Lorsqu’on la lui pose, dans un café de la capitale bulgare, un candidat du camp pro-occidental aux législatives anticipées du dimanche 2 octobre préfère requérir l’anonymat, avant de s’expliquer franchement : « Il faut nous comprendre : 67 % des Bulgares sont prorusses, donc on évite de trop en parler. »

La question d’un éventuel retour du gaz russe dans les tuyaux bulgares est devenue le principal sujet des quatrièmes élections législatives en dix-huit mois en raison de l’incapacité des formations politiques locales, atomisées en plusieurs forces irréconciliables, de composer un gouvernement stable. Alors que la corruption était la première préoccupation des Bulgares en 2021, la kyrielle de partis prorusses de cette nation balkanique, historiquement et culturellement proche de Moscou, a réussi à convaincre les électeurs que négocier avec Gazprom était désormais la priorité ; l’objectif étant de freiner une inflation, qui a atteint le niveau record de 17,7 % en août.

FRANCE – La hausse des prix à la consommation en France a ralenti en septembre, à 5,6% sur un an, contre 5,9% en août, selon les données provisoires publiées vendredi 30 septembre par l’Insee. Ce recul de l’inflation est dû au « ralentissement » de la hausse des prix de l’énergie et des services, explique l’Institut national de la statistique. En parallèle, la progression des prix de l’alimentation s’accélère et celle des produits manufacturés se poursuit à un rythme proche du mois précédent.

Après août, c’est le deuxième ralentissement de la hausse des prix à la consommation en France en glissement annuel depuis juillet 2021, lorsque l’inflation était limitée à 1,2%. Sur un mois, les prix à la consommation se replient de 0,5%, après +0,5% en août. « Pour le troisième mois consécutif » les prix de l’énergie ont reculé « dans le sillage des prix des produits pétroliers ». La progression sur un an est de 17,8%, contre +22,7% en août.

Sur la même période, celle des prix de l’alimentation s’affiche à +9,9% en septembre. Les prix des produits frais progressent de 11% sur cette même période, contre +3,5% en août. La hausse des prix des produits manufacturés se poursuit modérément (+3,6% contre +3,5% en août).

Dans la zone euro, l’inflation s’élève à 10%.

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