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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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IRAN-BELGIQUE – La Cour constitutionnelle belge suspend un traité controversé avec l’Iran. Inclus dans une loi du 20 juillet 2022, ce traité belgo-iranien est considéré par ses détracteurs comme ouvrant la voie au transfèrement vers Téhéran d’un diplomate iranien condamné pour terrorisme en Belgique en 2021.

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« Il n’y a pour l’instant plus de fondement légal permettant ce transfèrement », s’est réjoui auprès de l’AFP l’avocat François Tulkens, qui, au nom d’opposants iraniens, avait contesté devant la haute juridiction une loi belge du 30 juillet 2022 incluant ce traité. La « suspension » de cette loi est une étape préalable à une possible censure, sur laquelle la Cour devra se prononcer dans un délai de trois mois, a précisé l’avocat.

Le diplomate Assadollah Assadi, considéré comme un agent du renseignement iranien, a été condamné en février 2021 par le tribunal belge d’Anvers à 20 ans de prison. Il a été reconnu coupable d’avoir fomenté avec l’aide de complices belgo-iraniens un projet d’attentat à l’explosif qui devait viser le 30 juin 2018 le grand rassemblement annuel en France du Conseil national de la résistance iranienne (CNRI), coalition d’opposants au régime de Téhéran.

ISRAËL – Le futur Premier ministre Benjamin Netanyahou avait demandé deux semaines, le président Isaac Herzog lui a accordé 10 jours. Ce dernier a annoncé ce vendredi à midi qu’il avait accédé à sa demande de prolonger la durée du mandat pour former le gouvernement. « Après que vous m’ayez présenté la nécessité de prolonger le délai de formation du gouvernement, et afin d’agir conformément à la loi, j’ai décidé de prolonger de 10 jours, jusqu’au 21 décembre 2022, le délai qui vous est imparti pour remplir le devoir de former le gouvernement », a écrit le président dans une lettre remise à Benjamin Netanyahou. 

Moins d’un tiers des Israéliens soutient les principales propositions de lois sur la religion et l’État, émises par les partis qui devraient faire partie de la prochaine coalition gouvernementale, selon un sondage publié ce vendredi par l’Israel Democracy Institute. 750 citoyens israéliens ont été interrogés au sujet de sept propositions de lois émises par les membres de la future coalition gouvernementale. Cinq de ces propositions portaient sur des questions religieuses, une sur le rôle des conseillers juridiques du gouvernement et une sur les implantations. Aucune des sept n’a reçu plus de 40 % de soutien.

EGYPTE – L’Autorité générale en charge des approvisionnements (GASC) a acquis 175 000 tonnes de blé en provenance d’Ukraine vers la fin du mois de novembre. C’est ce qu’indiquent au quotidien local Al-Monitor, plusieurs sources proches de l’industrie.

Cet achat effectué directement via des négociations avec le secteur privé est le premier réalisé par le pays des pharaons en provenance d’Ukraine depuis le début de la guerre avec la Russie le 24 février dernier. Il a été rendu possible par l’accord maritime sur la mer Noire appliqué depuis août dernier, permettant l’exportation de céréales ukrainiennes et qui a été renouvelé le 17 novembre dernier.

Selon les observateurs, cette acquisition pourrait marquer un retour du blé ukrainien sur le marché égyptien dans un contexte où la Russie domine les approvisionnements du pays des pharaons ces derniers mois. En novembre dernier, la GASC en a notamment acheté 580 000 tonnes auprès des exportateurs de l’ex-URSS.

Plus globalement, la Russie devrait encore surclasser ses concurrents sur le marché du blé égyptien dans les prochains mois à la faveur de ses exportations prévues pour atteindre 43,9 millions de tonnes en 2022/2023 selon les dernières estimations du cabinet de recherche Sovecon.

En Egypte, les autorités envisagent d’importer 1 million de tonnes de blé d’ici la mi-2023 pour renforcer les réserves stratégiques dont les capacités d’entreposage atteignent 5 millions de tonnes. Le pays consomme chaque année environ 20 millions de tonnes de la céréale. 

SOUDAN – L’accord-cadre au Soudan obtenu en début de semaine par l’Union africaine, l’Igad et l’ONU entre les autorités militaires et des groupes révolutionnaires, ne convainc pas une partie des civils, qui était jeudi dans les rues de Khartoum pour marquer leur mécontentement. Ils mettent en doute la capacité des militaires à respecter leur engagement et l’obtention d’une justice pour les victimes des récentes manifestations contre le pouvoir.

« Nous rejetons totalement l’accord parce qu’il ne répond pas et ne satisfait même pas 1 % des demandes de la rue soudanaise. La première de ces demandes est d’exiger des comptes aux meurtriers des martyrs et d’obtenir des résultats tangibles dans le domaine de la justice ainsi que dans d’autres domaines liés à la liberté et à la paix. Telles sont nos exigences fondamentales » a souligné un manifestant.

La manifestation de jeudi a été menée par les Comités de résistance, un groupe de base qui a fermement rejeté toute négociation avec les chefs militaires soudanais, le général Abdel-Fattah Al Burhan et le général Mohammed Hamdan Dagalo. Ils exigent que les deux hommes soient jugés devant un tribunal.

RDC – En RDC, trois ans de prison ferme sont requis contre Vidiye Tshimanga, l’ancien conseiller stratégique du président Félix Tshisekedi accusé entre autres de corruption. L’affaire avait fait grand bruit dans le pays en septembre lorsqu’un enregistrement en caméra cachée montrant des conversations entre M. Tshimanga et deux prétendus investisseurs dans le secteur minier. Avec ce réquisitoire, son procès qui avait démarré le 14 novembre est presque à son terme.

Le réquisitoire du procureur est vite tombé : trois ans de prison ferme pour corruption, trafic d’influence et offenses envers le chef de l’État. Une peine que le procureur espère voir le juge retenir sans circonstance atténuante. Lors de l’instruction de son affaire, Vidiye Tshimanga était resté fidèle à sa ligne de défense. Il assure n’avoir jamais eu de contact physique avec les présumés investisseurs, que ce soit à Kinshasa ou à Londres où il se trouvait lorsqu’il a été piégé.

Ses propos avaient, selon lui, été sortis de leur contexte. Mercredi, il a encore clamé son innocence et dénoncé un acharnement. « En aucun cas, je n’ai demandé une rétribution de 20% », s’est défendu le prévenu, debout devant ses juges, réclamant d’être acquitté.

ZIMBABWE – Quand minuit sonne, beaucoup de Zimbabwéens se frottent les yeux et se lèvent, pour profiter des quelques heures d’électricité disponibles ces jours-ci pour cuire un plat en sauce, repasser une chemise ou puiser de l’eau.

Les pénuries d’électricité se sont nettement aggravées dans ce pays d’Afrique australe déjà en manque d’énergie, en raison de l’insuffisance d’eau à un barrage important.

Depuis la semaine dernière, les autorités imposent jusqu’à 19 heures de coupures par jour, le courant étant rétabli entre minuit et 5h du matin.

« C’est pénible », souffle Irvine Magede, vendeur de fruits trentenaire devant un bloc d’appartements de Mbare, le plus vieux township de la capitale Harare. « Nous nous réveillons quand ils lancent le réseau local pour charger nos téléphones et repasser nos vêtements ».

Le quotidien s’est transformé en corvée. L’épuisement quasi-total de l’eau du barrage de Kariba a plongé le pays dans l’obscurité et complique la vie de tous. Les étudiants ont passé cette semaine leurs examens dans la pénombre et des hôpitaux, qui fonctionnent avec des pompes électriques, sont privés d’eau.

La plupart des familles n’achètent plus de nourriture périssable. Exit la viande. Ils font de petites courses et mangent tout de suite après.

La crise s’est déclarée fin novembre, quand la principale centrale hydroélectrique a été contrainte de ralentir net en raison de la sécheresse. Le Zimbabwe partage le barrage de Kariba, l’un des plus grands réservoirs artificiels du monde, avec la Zambie voisine.

MADAGASCAR – La récession a fait basculer 2,4 millions de Malgaches sous le seuil de pauvreté. Pour Victoria Kwakwa, vice-présidente de la Banque mondiale, accélérer les investissements du secteur privé est essentielle pour réduire le taux de pauvreté qui a atteint un niveau record de près de 82%.

« Le gouvernement et le secteur public ne peuvent pas à eux seuls créer les centaines de milliers, voire les millions d’emplois qui vont être nécessaires, et des emplois significatifs. Ces réformes concernent l’amélioration de l’environnement du secteur privé et des affaires pour permettre à ce secteur de jouer un rôle plus important, assure Victoria Kwakwa. Il s’agit notamment de la mise en place d’un cadre politique pour l’engagement du secteur privé, de la réduction des lourdeurs administratives, de la réforme du secteur de l’énergie. »

Depuis 2016, 105 millions de dollars ont été octroyés par la Banque mondiale à la Jirama, la société publique de distribution d’électricité, à travers le projet Pagose, qui vise au redressement de l’entreprise. « Nous n’avons pas obtenu autant de succès que nous l’aurions souhaité dans notre soutien au secteur de l’énergie. Cependant, nous ne pouvons pas abandonner. C’est un secteur qui est primordial pour la croissance. Nous sommes à ce stade en discussion avec le gouvernement et la Jirama sur certaines modalités fondamentales autour de la gestion de ce secteur. »

Un secteur régulièrement pointé du doigt pour sa mauvaise gestion et son service de piètre qualité. La Jirama est d’ailleurs secouée depuis plusieurs jours par une affaire de détournement de fonds impliquant de hauts fonctionnaires.

AFRIQUE DU SUD – Le gouvernement sud-africain a présenté ce vendredi 9 décembre un projet de dépénalisation de la prostitution, dans l’espoir de lutter contre les violences faites aux femmes qui ne cessent de s’accentuer. L’offre et le recours à des services sexuels ne seront plus traités comme un crime, en vertu de cette législation présentée par le ministère de la Justice. Selon les associations, le pays compte environ 150.000 prostituées.

«On espère que la dépénalisation réduira les violations des droits humains contre les travailleuses du sexe», a déclaré le ministre de la Justice Ronald Lamola lors d’un point de presse. «Cela permettrait aussi un meilleur accès aux soins et une meilleure protection pour les travailleuses du sexe, de meilleures conditions de travail et moins de discrimination et de stigmatisation», a-t-il poursuivi.

L’Afrique du Sud, l’un des pays où l’épidémie de VIH est la plus forte au monde, est frappée par une vague de violence contre les femmes. Selon les chiffres de la police publiés en novembre, le nombre de viols et d’agressions sexuelles a augmenté de 13% entre 2017-2018 et 2021-2022. Un viol est déclaré à la police toutes les douze minutes, sans compter tous ceux qui ne font jamais l’objet de plaintes.

Les meurtres de femmes ont bondi de 52% sur les trois premiers mois de l’année par rapport à la même période l’an dernier, selon le président sud-africain Cyril Ramaphosa. 

INSOLITE – Un mystère vieux de 65 ans enfin élucidé. Ce jeudi 8 décembre, la police américaine a annoncé avoir identifié un jeune garçon, qui avait été découvert mort dans un carton à Philadelphie à la fin des années 50. Le corps sans vie du garçonnet avait été retrouvé le 25 février 1957, portant les marques de nombreux coups, enveloppé dans une couverture à l’intérieur d’un carton, dans une zone boisée de la ville du nord-est américain.

En plus des coups, « le garçon semblait souffrir de malnutrition (…) il était évident qu’au cours de sa très courte vie, cet enfant avait vécu des horreurs que personne, personne ne devrait jamais subir », a déclaré lors d’une conférence de presse la cheffe de la police de Philadelphie, Danielle Outlaw. Les résultats de l’autopsie ont permis de conclure que la victime avait entre quatre et six ans. Son meurtrier n’a par ailleurs jamais été retrouvé. 

À l’époque, personne ne s’était manifesté pour réclamer le corps de l’enfant, et l’enquête sur « le petit garçon dans la boîte » n’a jamais permis d’identifier la victime, malgré de précédents tests ADN. Mais le développement de nouvelles techniques médico-légales aura donné un nouveau tournant à l’affaire. 

En 2019, la police a de nouveau exhumé les restes du petit-garçon, enterrés à côté d’une pierre tombale portant la mention « Enfant inconnu d’Amérique ». Les résultats des tests ont été téléchargés dans des bases de données ADN, puis analysés par des généalogistes, permettant de remonter jusqu’à la mère biologique de l’enfant. 

Les enquêteurs ont ensuite retrouvé un acte de naissance pour l’un de ses enfants, né en 1953. De nouvelles analyses ont ensuite permis d’identifier le père et le jour de naissance de l’enfant, nommé Joseph Augustus Zarelli et né le 13 janvier 1953.

La police n’a pas donné l’identité des parents, mais a déclaré que l’enfant avait « un certain nombre de frères et sœurs » encore en vie. « Il s’agit toujours d’une enquête active sur un homicide et nous avons toujours besoin de l’aide du public pour compléter l’histoire de la vie de cet enfant », a déclaré Danielle Outlaw.

PARLEMENT EUROPEEN – Quatre personnes dont un ancien eurodéputé ont été arrêtées ce vendredi à Bruxelles dans le cadre d’une enquête d’un juge financier sur des soupçons de corruption par un « pays du Golfe » au sein du Parlement européen, a annoncé le parquet fédéral belge.

Le pays n’est pas nommé par le parquet. Selon le journal belge Le Soir, il s’agit du Qatar dont des responsables auraient tenté de corrompre un élu socialiste italien qui fut eurodéputé de 2004 à 2019.

L’enquête vise entre autres des faits de « corruption » et de « blanchiment d’argent » en bande organisée, selon un communiqué du parquet.

Depuis plusieurs mois, les enquêteurs belges « soupçonnent un pays du Golfe d’influencer les décisions économiques et politiques du parlement européen, cela en versant des sommes d’argent conséquentes ou en offrant des cadeaux importants à des tiers ayant une position politique et/ou stratégique significative » au sein de cette institution.

L’identité des personnes interpellées n’a pas été dévoilée par le parquet fédéral, compétent en Belgique pour les dossiers de terrorisme et de criminalité organisée.

Ce vendredi matin, dans le cadre de cette enquête d’un juge bruxellois, seize perquisitions ont été menées par la police dans diverses communes de la capitale belge (où le Parlement européen a son siège).

Outre les quatre arrestations, la police a mis la main sur « environ 600.000 euros en liquide », ainsi que « du matériel informatique et des téléphones portables » dont les contenus seront analysés.

« Cette opération visait en particulier des assistants parlementaires travaillant au sein du Parlement européen. Parmi les personnes interpellées, figure un ancien parlementaire européen », indique encore le parquet.

MIGRANTS MANCHE – Une quinzaine d’enfants migrants âgés de 1 à 16 ans, qui tentaient la traversée vers l’Angleterre avec des adultes, ont été secourus dans la nuit de jeudi à vendredi sur une plage du nord de la France, une fillette de 5 ans ayant même dû être ranimée, selon la préfecture.

« Ces 15 enfants, en état d’hypothermie, ont été pris en charge par les sapeurs-pompiers » et transportés à l’hôpital, est-il précisé dans le communiqué. « Leur pronostic vital n’est pas engagé ».

Ces enfants ont été secourus par les gendarmes qui « n’ont pas hésité à leur porter secours en se mettant à l’eau pour les sauver » alors qu’ils étaient positionnés en surveillance sur la plage de Camiers, près du Touquet.

« Une centaine de migrants » a tenté de prendre la mer au départ de cette plage durant la nuit, précise la préfecture. Parmi eux, 37 ont été mis à l’abri dans une salle de Camiers où ils « ont bénéficié de vêtements secs ».

La route maritime entre la France et l’Angleterre est l’une des plus empruntées au monde, « avec plus de 400 navires de commerce qui y transitent par jour et les conditions météorologiques y sont souvent difficiles », selon la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord (Premar).

Pourtant, toujours plus d’exilés tentent la traversée. Plus de 40.000 migrants sont arrivés au Royaume-Uni après avoir traversé la Manche à bord de petites embarcations en 2022, un record.

MIGRANTS BULGARIE – L’agence européenne des gardes-frontières (Frontex) a indiqué ce jeudi 8 décembre qu’elle allait examiner des informations selon lesquelles des policiers bulgares auraient enfermé des migrants dans une cage, après que l’Onu a fait part de sa « préoccupation ».

Une enquête réalisée par plusieurs médias européens affirme que des migrants ont été enfermés dans une cage de fortune, à la frontière bulgare avec la Turquie. Le consortium dénonce que ces abus se sont faits « sous le regard » des agents de Frontex.

« Frontex traite avec sérieux tout signalement de violations présumées des droits fondamentaux », a déclaré à l’AFP l’agence basée à Varsovie. « Les informations que vous nous avez communiquées ont été transmises au Bureau des droits fondamentaux de Frontex qui examinera les allégations », a ajouté Frontex dans son courriel.

Les allégations découlent d’une enquête publiée jeudi par le journal Le Monde en partenariat avec l’organisation Lighthouse Reports et d’autres médias européens. Le quotidien du soir indique qu’il dispose d’images vidéo de la cage utilisée pour y enfermer des réfugiés. D’après leurs informations, au moins 34 personnes y étaient détenues entre la mi-octobre et la fin novembre.

La cage de fortune est « constituée de barreaux en fer et jonchée de détritus, elle est visible depuis la rue », indique le journal. Le Monde a interrogé quatre hommes, des Syriens et des Afghans, qui lui « ont dit y avoir été enfermés à la suite de leur tentative d’entrée en Bulgarie ». 

ITALIE – Un tribunal italien a condamné l’État à restaurer le navire d’une ONG saisi en 2017 dans le cadre d’une enquête sur les sauvetages de migrants en mer Méditerranée, a indiqué un avocat vendredi 9 décembre à l’AFP.

Le Iuventa, propriété de l’ONG allemande Jugend Rettet, avait été complètement abandonné à son sort après sa saisie et avait commencé à rouiller en l’absence d’entretien durant la phase préliminaire d’un procès contre 21 personnes soupçonnées de traite d’êtres humains.

Parmi ces 21 suspects figuraient des membres d’équipage des navires de sauvetage des ONG Jugend Rettet, Médecins sans Frontières (MSF) et Save the Children, accusés de collusion avec les passeurs. Samuele Corso, juge au tribunal de Trapani dans l’ouest de la Sicile, doit déterminer si ces personnes doivent être jugées ou non, à l’issue d’une enquête de cinq ans dénoncée par certains comme une tentative politique pour stopper les opérations de sauvetage.

Et vendredi, ce juge a statué que les autorités italiennes doivent «veiller à tous les travaux de manutention nécessaires pour restaurer et maintenir l’état du navire tel qu’il était au moment de sa saisie». Le coût pour l’État italien est estimé à 100.000 euros, a déclaré l’avocat de la défense Nicola Canestrini. «Étant donné le piteux état du navire, la question est de savoir si la décision du tribunal peut être appliquée», a réagi Jugend Rettet dans un communiqué.

FINLANDE – La mise en service normal du réacteur nucléaire EPR d’Olkiluoto en Finlande est de nouveau reportée, à février cette fois, a annoncé ce vendredi l’opérateur finlandais de la centrale, déjà confronté à 13 ans de retard sur le calendrier initial.

Du fait de dommages détectés en octobre dans les pompes d’alimentation en eau du réacteur, le nouveau calendrier présenté par le consortium de construction mené par le français Areva prévoit une production normale « qui commencerait en février 2023 », explique l’exploitant TVO dans un communiqué.

« Il y a toujours des incertitudes sur ce calendrier », précise l’opérateur de la centrale située dans le sud-ouest de la Finlande, qui compte deux autres réacteurs déjà en activité.

L’enquête sur la cause des problèmes de pompes « se poursuit », souligne TVO.

Ce nouveau retard est une mauvaise nouvelle pour le système électrique finlandais et d’Europe du Nord, qui comptait sur le plus puissant réacteur d’Europe (1.600 mégawatts) pour faire face à des risques de pénuries d’électricité pendant l’hiver.

Conséquence de la guerre en Ukraine, la Finlande doit se passer des importations d’électricité de son voisin russe et la Suède voisine connaît aussi des problèmes de disponibilité de son parc nucléaire.

RUSSIE – Les services d’urgence russes soupçonnent qu’un acte « criminel » est à l’origine du vaste incendie qui a démarré dans la nuit de jeudi à vendredi dans un centre commercial de la banlieue de Moscou, ont rapporté des agences de presse russes.

« Les pompiers combattent un incendie d’une superficie de 7.000 m2 dans la région de Moscou », a annoncé sur Telegram le ministre russe des Situations d’urgence.

L’incendie sévit au centre commercial Mega Khimki, dans la banlieue de Khimki au nord de la capitale russe.

Les services d’urgence russes soupçonnent qu’un acte « criminel » soit à l’origine du vaste incendie, ont rapporté peu après des agences de presse russes en se référant à des sources au sein des services d’urgence.

« Actes délibérés, tel un incendie criminel, est envisagé », a indiqué l’agence Interfax, citant une source non identifiée.

L’agence Sputnik a précisé qu’un acte criminel était « l’une des principales explications » envisagées pour ce feu.

Des vidéos publiées sur les réseaux sociaux montraient un incendie de grande envergure tandis que des gens prenaient la fuite d’un bâtiment en proie aux flammes en direction d’un parking.

SENEGAL – La Cour suprême sénégalaise a invalidé jeudi la rebaptisation de certaines rues de Ziguinchor portant des noms de personnalités françaises, selon une source au sein de l’institution et un conseiller municipal de ce chef-lieu de Casamance.

Le 17 février dernier, quelques jours après son installation à la mairie de Ziguinchor, l’opposant Ousmane Sonko avait rebaptisé plusieurs rues de la ville en mémoire des « tirailleurs africains » et d’autres célébrités locales.

« Six décennies après notre indépendance (de la France), le maintien de certains noms est une offense à notre dignité nationale », avait justifié le conseil municipal.

Mais « la chambre administrative a annulé toutes les délibérations du conseil municipal de Ziguinchor du 17 février 2022 », dit la décision de la Cour suprême.

« Le préfet avait formulé un recours pour contester la légalité de nos délibérations relativement à la rebaptisation des rues. La Cour suprême lui a donné raison. Mais nous allons attirer l’attention sur les manquements graves du point de vue de la procédure », a confirmé à l’AFP Abdou Sané, conseiller municipal délégué à Ziguinchor, chargé notamment de l’urbanisme.

En vertu de la rebaptisation des noms, la « rue du général de Gaulle » devenait « rue de la paix » tandis que l’« avenue du capitaine Javelier » était rebaptisé « avenue du tirailleur africain », en hommage aux soldats africains qui ont combattu pour la France lors des Guerres mondiales.

La rue « Thiaroye 44 », du nom d’un lieu proche de Dakar où l’armée française massacra en décembre 1944 des « tirailleurs » réclamant le paiement de soldes, remplaçait la « rue du lieutenant Lemoine ».

Ousmane Sonko, candidat déclaré à l’élection présidentielle de 2024, tient un discours à la fois souverainiste, panafricaniste et social. Il dénonce souvent les relations, selon lui inégales, entre les entreprises françaises et la France et ses anciennes colonies africaines.

GUINEE EQUATORIALE – Le président de Guinée équatoriale Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, qui détient le record mondial de longévité au pouvoir pour un chef d’Etat encore vivant, hors monarques, a prêté serment jeudi pour un sixième mandat de sept ans.

Il a été réélu avec 94,9% des suffrages le 20 novembre, à 80 ans, à la tête de ce petit pays d’Afrique centrale riche de son pétrole, qu’il dirige d’une main de fer depuis plus de 43 ans.

La cérémonie d’investiture s’est déroulée à Malabo devant de nombreux invités dont ses homologues du Congo, du Burundi, de Sao Tome-et-Principe, du Zimbabwe et de la Centrafrique, a rapporté un journaliste de l’AFP sur place.

« Je ne suis pas le président d’un groupe tribal ou ethnique ou d’une croyance particulière, j’ai été élu par tout le peuple de Guinée équatoriale (…), je suis et serai toujours le président de tous les Equato-guinéens », a-t-il lancé d’une grande tribune en bord de mer, après son serment devant les juges du Tribunal constitutionnel et les parlementaires de l’Assemblée nationale et du Sénat, au sein desquels son parti a remporté la totalité des sièges lors du scrutin du 20 novembre.

Puis le chef de l’Etat et ses homologues ont assisté au défilé de plus de 5.000 militaires et policiers, selon les chiffres fournis par le ministère de la Défense.

BURKINA – Au moins douze personnes, en grande partie des supplétifs civils de l’armée, ont été tuées mercredi lors d’une nouvelle attaque de jihadistes présumés dans le nord du Burkina Faso, ont indiqué jeudi des sources locales à l’AFP.

Mercredi soir, « des individus armés ont mené une attaque contre les populations de Boala », dans la région du Centre-Nord, « tuant au moins douze personnes », a indiqué à l’AFP un habitant en précisant que les victimes sont « presque toutes des Volontaires pour la défense de la patrie » (VDP), des supplétifs de l’armée.

« Il y a au moins dix volontaires qui ont été tués et plusieurs blessés qui ont été évacués au centre médical de Boulsa », le chef-lieu de la province du Namentenga située dans cette région, a indiqué un autre habitant, s’exprimant également sous le couvert de l’anonymat.

Un responsable régional des VDP, sous le couvert de l’anonymat, a confirmé l’attaque, précisant que « plusieurs terroristes ont été neutralisés par les volontaires après plus de deux heures de combats ».

Cette nouvelle attaque est la quatrième connue depuis dimanche au Burkina: elles ont fait au total au moins 27 morts.

Lundi et mardi dans cette même région, au moins neuf civils sont morts lors de l’attaque d’un village et d’un convoi de commerçants.

Dimanche ce sont six civils, dont quatre enseignants, qui avaient été tués lors d’une attaque de jihadistes présumés à Bittou, ville du Burkina Faso proche des frontières du Ghana et du Togo.

AVION – Le Japon va collaborer avec le Royaume-Uni et l’Italie pour développer un avion de combat de nouvelle génération d’ici 2035, ont annoncé les trois pays vendredi 9 décembre, alors que l’archipel nippon cherche à renforcer sa stratégie de défense dans un contexte géopolitique tendu. Tokyo, Londres et Rome vont lancer «un effort ambitieux pour développer un avion de combat de nouvelle génération» dans le cadre d’un programme baptisé GCAP (Global Combat Air Programme), ont précisé ces gouvernements. 

Cette collaboration, qui doit tirer parti des recherches déjà lancées par les trois partenaires dans les technologies de pointe en matière de combat aérien comme les aéronefs sans pilote, marque la première association du Japon avec des partenaires européens pour concevoir un avion de combat. Les détails concernant le coût du projet n’ont pas encore été finalisés, selon un responsable du ministère japonais de la Défense qui a précisé que la production devrait commencer vers 2030 ou 2031 afin de pouvoir déployer un prototype d’ici 2035.

Ce futur avion de combat sera un concurrent direct du SCAF développé par l’Allemagne, l’Espagne et la France.

CHINE-ARABIE SAOUDITE – Le président chinois Xi Jinping participe vendredi 9 décembre à Ryad à des sommets avec les dirigeants arabes présentés par Pékin comme «des évènements majeurs», au troisième jour d’une visite en Arabie saoudite à forts enjeux économiques et géopolitiques.

Xi Jinping, arrivé ce mercredi dans la capitale de la monarchie pétrolière du Golfe, a rencontré ce jeudi le roi Salmane et le puissant prince héritier Mohammed ben Salmane. Une série de contrats de près de 28 milliards d’euros dans les domaines de l’énergie ou encore de la pétrochimie ont été signés jeudi entre la Chine et l’Arabie saoudite pendant la visite de Xi Jinping à Ryad. Le président chinois a assuré vouloir consolider « un partenariat stratégique global » avec le royaume pétrolier.

ETATS-UNIS – Le Congrès américain a adopté jeudi une loi protégeant le mariage homosexuel dans l’ensemble des Etats-Unis, par crainte d’un retour en arrière de la Cour suprême en la matière.

Le président américain Joe Biden a salué dans un communiqué une « mesure essentielle, pour garantir aux Américains le droit de se marier avec la personne qu’ils aiment ».

Selon lui, ce vote va « apporter la tranquillité d’esprit aux millions de couples LGBTQI+ et interethniques qui disposent désormais des droits et des protections qui leur sont dus ainsi qu’à leurs enfants ».

Les unions entre personnes gays ou lesbiennes sont garanties par la Cour suprême des Etats-Unis depuis 2015. Mais après la volte-face historique de la haute cour sur l’avortement en juin, nombre de progressistes craignent que ce droit ne soit lui aussi détricoté.

Une large majorité des Américains soutiennent le mariage entre personnes de même sexe, y compris dans les rangs républicains. Mais la droite religieuse y reste majoritairement opposée.

La loi adoptée au Congrès américain abroge des législations antérieures définissant le mariage comme une union entre un homme et une femme. Et interdit aux agents d’état civil –quel que soit l’Etat dans lequel ils travaillent– de discriminer les couples « en raison de leur sexe, race, ethnicité ou origine ».

Elle a été votée par l’ensemble des élus démocrates et 39 républicains. 169 membres du « Grand Old Party s’y sont opposés. 

Le texte, baptisé « Respect for Marriage Act », avait été approuvé par le Sénat la semaine dernière.

COREE DU SUD – Après des années de débat, la Corée du Sud a finalement décidé d’abolir le très original calcul de l’âge de ses citoyens et va ainsi offrir, en 2023, à ses habitants une forme de « rajeunissement administratif ». Jeudi, le Parlement a révisé la loi civile et les textes réglementaires qui encadraient ce système confus, remontant à plusieurs siècles.

Actuellement, un bébé sud-coréen a immédiatement, aux yeux de certaines administrations, un an à sa naissance et il gagne, comme tous les habitants du pays, une année supplémentaire au 1er janvier. Ainsi, un enfant né le 31 décembre se retrouve automatiquement âgé de 2 ans, quelques heures plus tard, au moment du changement d’année.

D’autres institutions utilisent, elles, un système de calcul hybride, où la personne a bien « 0 an » à sa naissance, comme dans le reste du monde, mais gagne, par contre, un an le 1er janvier. Cette méthode est notamment utilisée pour déterminer l’âge de départ au service militaire, obligatoire dans le pays, ou fixer l’âge légal pour consommer de l’alcool.

Si les habitants, les entreprises et une partie des administrations avaient déjà massivement adopté, dans les faits, l’âge « international », qui fait démarrer à zéro l’âge à la naissance du bébé et lui ajoute ensuite une année supplémentaire tous les 365 jours, le maintien de systèmes parallèles dans plusieurs institutions ou lois entretenait une certaine confusion.

Dénonçant la complexité administrative et les litiges juridiques liés à la coexistence de ces différentes méthodes de calcul, Yoon Suk-yeol, le président conservateur sud-coréen avait promis, dans sa campagne électorale, d’orchestrer une grande remise à plat du système. Un projet auquel se sont depuis ralliés plusieurs partis.

La loi adoptée par le Parlement prévoit donc de faire basculer, en juin 2023, l’ensemble du pays dans le système de calcul de l’âge appliqué sur le reste de la planète. A partir de cette date, tous les documents officiels devront donc utiliser la méthode internationale.

CHARLES III – Les premières pièces de monnaie à l’effigie de Charles III, devenu roi après la mort de sa mère la reine Elizabeth II le 8 septembre, entrent en circulation jeudi au Royaume-Uni, selon un communiqué officiel. Les nouvelles pièces d’une valeur de 50 pence (près de 58 centimes d’euros) font leur apparition dans les bureaux de poste du pays, «qui en recevront 4,9 millions», a précisé Royal Mint, l’organisme chargé de frapper la monnaie britannique.

Le portrait officiel qui figure sur ces pièces, œuvre du sculpteur Martin Jennings, avait été dévoilé fin septembre. Il a été conçu à partir d’une photo et approuvé par le roi. Comme le veut la tradition, le visage du nouveau roi est tourné dans la direction opposée du monarque qui l’a précédé. Charles regarde donc vers la gauche, tandis que l’image de la reine Elizabeth II est tournée vers la droite. Au dos des pièces figure un motif commémorant le couronnement de la reine Elizabeth II en 1953, représentant les armoiries royales et les emblèmes des quatre nations composant le Royaume-Uni, et qui figurait déjà sur des pièces frappées à l’époque. Le couronnement de Charles III aura quant à lui lieu le 6 mai.

En tout, 9,6 millions de nouvelles pièces seront initialement mises en circulation. Quelque 27 milliards de pièces sont actuellement en circulation au Royaume-Uni, arborant le visage de la défunte Elizabeth II: elles resteront valables et ne seront remplacées que lorsqu’elles seront endommagées ou usées. 

Les premiers billets de banque à l’image du nouveau roi entreront en circulation mi-2024.

FRANCE – Moins d’un an après l’entrée en vigueur de l’interdiction des emballages plastiques autour de certains fruits et légumes, ils pourraient faire leur retour : le Conseil d’Etat a annulé ce vendredi le décret d’application, qu’il juge « illégal », et demandé à l’Etat d’écrire un nouveau texte.

Depuis le 1er janvier 2022, de nombreux fruits et légumes frais non transformés, comme les courgettes, poivrons, concombres, pommes, poires ou oranges, ne pouvaient plus être vendus sous emballages plastiques.

Le décret d’application de cette mesure était paru en octobre 2021 et fixait notamment des tolérances d’emballages plastiques jusqu’en 2026 pour les plus fragiles comme les fruits rouges.

C’est ce calendrier progressif qui a été jugé illégal par la plus haute instance administrative, saisie notamment par les industriels du plastique. Pour elle, l’Etat a outrepassé le mandat qui lui avait été fixé dans le cadre de la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire.

Cette dernière avait « confié au gouvernement la tâche de lister les seuls fruits et légumes présentant un risque de détérioration s’ils étaient vendus en vrac, afin de les exempter de l’interdiction d’emballage plastique de façon définitive », explique le Conseil d’Etat dans un communiqué.

Or, dans le décret d’application, le gouvernement a non seulement « inclus dans sa liste des fruits et légumes ne présentant pas nécessairement de risque de détérioration » mais a en plus « fixé, pour chacun de ces fruits et légumes, la période durant laquelle ils pourraient continuer à être vendus sous emballage plastique après le 1er janvier 2022 », indique le Conseil d’Etat.

En conséquence, « le décret n° 2021-1318 du 8 octobre 2021 relatif à l’obligation de présentation à la vente des fruits et légumes frais non transformés sans conditionnement composé pour tout ou partie de matière plastique est annulé », conclut le Conseil d’Etat, suivant en cela l’avis du rapporteur public rendu le 14 novembre.

L’Etat « devra redéfinir une liste par décret pour répondre à la mission que lui a confiée la loi », est-il ajouté.

Avant l’entrée en vigueur de cette interdiction, 37% des fruits et légumes en France étaient vendus sous emballage plastique.

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