Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) avertit ce jeudi 21 octobre l’ensemble des citoyens, des autorités et des structures publiques et privées contre « le risque d’usurpation de la qualité de journaliste ».
Dans un communiqué paru sur sa page officielle, le syndicat révèle que « certaines parties inconnues ont accordé des cartes falsifiées à des personnes n’appartenant nullement à la profession », lesquelles cartes n’ont pas été octroyées par les instances habilitées à cet effet.
Le SNJT met en garde contre « la gravité de l’usurpation d’identité et du port d’une fausse carte professionnelle non reconnue, étant un crime puni par la loi ».
Il appelle les autorités concernées « à assumer leur responsabilité, et à contrer les pratiques d’escroquerie ».
Le syndicat rappelle que « les cartes reconnues sont la carte de presse professionnelle, la carte d’accréditation de journaliste, la carte de journaliste sportif, et la carte d’adhésion au syndicat ».