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Un an…

F Farès par F Farès
depuis 9 mois
dans Editoriaux, INTERNATIONAL, Les infos du jour, SLIDER
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C’est un historien, ancien ambassadeur d’Israël en France, Elie Barnavi, qui le dit : Ne pas « mettre fin à cette opération à Gaza » est « un crime d’État ». Sur la radio française Franceinfo, il admet qu’Israël ne pouvait pas faire autrement que de « réagir par la force » après l’attaque du Hamas du 7 octobre. « Mais une fois que ça s’est passé, il faut affilier à cette campagne militaire, une fin politique et diplomatique ». 

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Sur la même radio, l’ancien Premier ministre français Dominique de Villepin renchérit : « au lendemain du 7 octobre, nous avons tous reconnu le droit d’Israël à assurer sa sécurité et à se défendre. Mais ce droit, ce n’est pas un permis illimité de bombarder, d’intervenir, de bafouer la sécurité des pays voisins (…) Nous ne pouvons plus cautionner les massacres qui se sont déroulés dans cette région et qui mettent en danger la région toute entière ».

Le 7 octobre 2023, le Hamas a déclenché l’horreur avec son acte incontestablement terroriste, son massacre. Conformément au droit international, l’Etat hébreu s’est défendu, a riposté, mais très vite de manière indiscriminée, disproportionnée, a semé une autre horreur qui continue, la mort, la destruction quasi totale.

Bilan : plus de 41 000 morts, selon le Hamas. Beaucoup plus selon l’expert militaire français Frédéric Encel qui, se basant sur la nature des opérations lancées, les dégâts, parle de 100 000 morts et environ 350 000 blessés. Des chercheurs, dont des médecins, pensent aussi à ce qui ne peuvent être soignés et estiment qu’il y aura 186 000 morts. 90% des victimes sont des civils.

Devant cette horreur, peut-on encore traiter les combattants gazaouis de terroristes, ou faut-il ne voir que des résistants qui luttent pour leur vie, pour les droits des Palestiniens?

Au Liban, le Hezbollah créé par l’Iran n’est pas dans la même situation que les Palestiniens et pratiquent plus le terrorisme, comme leur parrain et, à l’instar d’Israël n’applique aucune résolution du Conseil de sécurité de l’ONU.

Si les otages étaient libérés, Israël n’aurait plus aucune raison de poursuivre sa guerre. Mais ni Sinouar, ni Netanyahou ne veulent négocier. L’un persiste à vouloir rayer l’Etat hébreu de la carte, l’autre mène le combat de sa vie et de sa… survie. Depuis qu’il est au pouvoir, le Premier ministre de l’Etat hébreu n’a qu’un but, empêcher la création d’un Etat palestinien. Afin de diviser les Palestiniens, il a « parrainé » le Hamas, permis son financement, son implantation en Cisjordanie pour s’opposer à l’Autorité palestinien corrompue et discréditée. En ce sens, il est en partie responsable du 7 octobre.

Depuis cette date, il entreprend de redessiner la région, de créer de nouveaux équilibres et espère toujours, comme avant le 7 octobre – il n’en était pas loin- une sorte de partenariat avec l’Arabie Saoudite. Mais sans cessez-le-feu, c’est impossible. Netanyahou n’a donc aucune stratégie, aucune perspective politique. Et poursuit la guerre pour durer sans réel souci des otages malgré ce qu’il a encore affirmé ce matin. 

Il n’écoute personne et poursuit sa guerre pour durer. Comme le dit Elie Barnavi, « Israël gagne des batailles, mais est en train de perdre la guerre » Il a déjà perdu celle de l’opinion.

C’est, aujourd’hui, « la guerre du pire » analyse Thomas Friedman, l’éditorialiste vedette du New York Times : «  On n’a jamais eu de conflit au Moyen-Orient dans lequel le pire du pire mène le jeu dans chaque camp. Du côté palestinien, c’est l’aile militaire du Hamas. Du côté israélien, des suprémacistes juifs dictent à Benyamin Netanyahou la ligne politique. Au Liban, c’est le Hezbollah, une milice qui a pris en otage tout un pays avec l’aide d’un Etat étranger. Et en Iran, c’est un régime qui se sert de la cause palestinienne pour étendre son influence. Si le diable avait voulu incendier tout le processus de paix, il n’aurait pas fait appel à d’autres protagonistes. Nous assistons aujourd’hui à un bûcher de la paix ».

Toutefois, et avec raison, Thomas Friedman persiste à croire que la seule solution est celle à deux Etats même si elle s’est éloignée et que la haine est montée.

F Farès

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